Quand Facebook détrône Google

On ne peut plus le nier: les réseaux sociaux sont désormais de véritables canaux d’information. Le grand public avait pu découvrir les prémices de cette évolution grâce à l’expérience « Huis clos sur le net », au début du mois de février, et pourtant, la situation a déjà changé. Elle avait déjà évolué bien auparavant… Seuls quelques journalistes chevronnés de la presse écrite osaient remettre en cause le nouveau statut de ces sites internet.

Par Grégory, il y a

Internet tu es, Internet tu seras

Cela fait deux semaines que l’expérience Huis Clos sur le Net est terminée et déjà, ce phénomène s’est quelque peu éteint. Les projecteurs ne sont pas restés longtemps sur Twitter et Facebook ainsi que sur les journalistes qui ont pris part à ce test grandeur nature. Pourtant, le bilan de cette expérience doit être établi sur le long terme. Car une semaine sans média traditionnel, c’est bien mais savoir quel impact cela peut avoir sur les journalistes ayant pris part à l’expérience mais également sur ceux qui ont suivi celle-ci, c’est mieux.

Par Grégory, il y a

Gratuit, c’est fini… Et dire que c’était le mot de mes premiers amours…

Internet, c’est quand même bien. Tout un réseau de gens et d’informations s’entremêlant, s’échangeant des contacts et des nouvelles, s’informant, se divertissant… Et tout cela, à moindre coût. Du moins, c’est ce que tout le monde allait croire durant quelques années dorées où le net allait offrir tout et tout de suite. Gratuitement, à l’oeil, pour pas un rond. Et puis, au fil des mois, les médias ont découvert qu’il était de moins en moins viable d’offrir (légalement ou illégalement) tout un contenu culturel ou informatif au public sans aucune rémunération pour les producteurs. Je ne vais pas parler ici de la loi Hadopi ou de la licence globale qui a déjà fait tant débat en Belgique et en France car je ne connais pas encore réellement les tenants et les aboutissants que pour me permettre un papier sur ce sujet. Je tiens surtout à parler de la gratuité de l’information.

Par Grégory, il y a