Internet, c’est quand même bien. Tout un réseau de gens et d’informations s’entremêlant, s’échangeant des contacts et des nouvelles, s’informant, se divertissant… Et tout cela, à moindre coût. Du moins, c’est ce que tout le monde allait croire durant quelques années dorées où le net allait offrir tout et tout de suite. Gratuitement, à l’oeil, pour pas un rond. Et puis, au fil des mois, les médias ont découvert qu’il était de moins en moins viable d’offrir (légalement ou illégalement) tout un contenu culturel ou informatif au public sans aucune rémunération pour les producteurs. Je ne vais pas parler ici de la loi Hadopi ou de la licence globale qui a déjà fait tant débat en Belgique et en France car je ne connais pas encore réellement les tenants et les aboutissants que pour me permettre un papier sur ce sujet. Je tiens surtout à parler de la gratuité de l’information.